j’aime ! contemporain…. matériau pas facile à discipliner… poun un résultat présenté qui aurait pu mériter d’être la mascotte du salon de l’agriculture au côté de Aïda !… hé – rires.
@marie : oui, je suis d’accord. Les « morceaux » de cette composition ne doivent pas être simple à reconnaître hors contexte, à manier, et pourtant, le résultat est « propre », et fait « un », et fait homogène (on n’imagine pas tous les objets d’où proviennent les morceaux). Comme le bras et l’oreille ne se ressemblent pas, mais la composition fait un être humain unique qui ne semble pas constitué de membres pourtant dissemblables. Quant au salon de l’agriculture, je n’y suis jamais allé, et je ne suis pas tenté : trop de risque de tomber sur des hommes politiques au coté desquels je n’aimerais pas être pris en photo 😉
cette année ils (les hommes politiques) se sont faits plus discrets… (ils ont décidé de se casser les pov’….. ) – et puis il y a plein d’endroit ou se cacher : derrrière les tomes de savoie, ou dans les meules de foin, dans les poulaillers ou derrière les croupes de ces dames-vaches laitières… si dodues et belles… Ah quel est beau tout de même le terroir français :…. cocorico !!!
Naaan ! Me dit pas qu’on peut se rouler dans les meules de foin au salon de l’agriculture =. Tu vas me faire regretter de ne pas y être allé 😉 Mais de toi à moi, je préfère (et de loin) aller me rouler dans le foin à la campagne, et à goûter à la tome de Savoie dans une ferme, après une bonne rando dans nos belles campagnes, non ? Tu en es ? 😉
je suis solognote de naissance… alors Aïda est un peu ma soeur… si si…. sauf pour la croupe… incomparable… ! rires – et je partage largement ton point de vue.. le foin c’est mieux dans les champs et le fromage à la montagne…. dans les caves d’affinage….
@marie : ahhh ??? me dit pas qu’t’es une ventre jaune 😉 D’accord, maintenant, je t’appellerai Aïda. Heuuu… non finalement, ça serait un peu comme de t’appeler « ma vache », et ça, j’peux pas. Mais je suis sûr que je te trouverai un autre surnom 😉
@Firenze : en fait, il y avait deux artistes représentés dans cette expo (qui n’était pas très grande). Nathalie Aubrun, qui peint des toiles sur le thème urbain, sur fond blanc, pleines de couleurs vives. Tu sais, quand de bons photographe où de bons cinéastes vont tourner ou shooter sur des sites pollués, il y a risque qu’on trouve le résultat esthétiquement beau. Avec leur art, la pollution devient belle. Et bien Nathalie Aubrun a ce même talent. Dans une ville où tout est gris, ou beaucoup de choses sont moches, elle peint des gens vêtus de couleurs bleues, rouges, jeunes (sa gamme de couleurs dans sa palette n’est pas variée), et elle arrive à montrer du beau où on ne l’aurait pas vu.
Quant à Yannick Gérard (aka Llwyt) est sculpteur. Enfin… J’ai toujours du mal à dire sculpteur pour ce genre d’oeuvre (mais ça n’est pas méchant hein). Pour mon esprit fermé, le sculpteur part d’un matériau brut (pierre, bois, terre, etc.), et forge une oeuvre. La, c’est du collage (ou de la soudure) de pièces déjà forgées. C’est pour ça que j’appelle ça plutôt une « composition sculpturale ». Je sais, je sais, je suis psychorigide… Ça n’enlève rien au talent de l’artiste. Et en effet, ces deux oeuvres étaient deux têtes faites de pièces métalliques.
j’aime ! contemporain…. matériau pas facile à discipliner… poun un résultat présenté qui aurait pu mériter d’être la mascotte du salon de l’agriculture au côté de Aïda !… hé – rires.
@marie : oui, je suis d’accord. Les « morceaux » de cette composition ne doivent pas être simple à reconnaître hors contexte, à manier, et pourtant, le résultat est « propre », et fait « un », et fait homogène (on n’imagine pas tous les objets d’où proviennent les morceaux). Comme le bras et l’oreille ne se ressemblent pas, mais la composition fait un être humain unique qui ne semble pas constitué de membres pourtant dissemblables. Quant au salon de l’agriculture, je n’y suis jamais allé, et je ne suis pas tenté : trop de risque de tomber sur des hommes politiques au coté desquels je n’aimerais pas être pris en photo 😉
cette année ils (les hommes politiques) se sont faits plus discrets… (ils ont décidé de se casser les pov’….. ) – et puis il y a plein d’endroit ou se cacher : derrrière les tomes de savoie, ou dans les meules de foin, dans les poulaillers ou derrière les croupes de ces dames-vaches laitières… si dodues et belles… Ah quel est beau tout de même le terroir français :…. cocorico !!!
Naaan ! Me dit pas qu’on peut se rouler dans les meules de foin au salon de l’agriculture =. Tu vas me faire regretter de ne pas y être allé 😉 Mais de toi à moi, je préfère (et de loin) aller me rouler dans le foin à la campagne, et à goûter à la tome de Savoie dans une ferme, après une bonne rando dans nos belles campagnes, non ? Tu en es ? 😉
je suis solognote de naissance… alors Aïda est un peu ma soeur… si si…. sauf pour la croupe… incomparable… ! rires – et je partage largement ton point de vue.. le foin c’est mieux dans les champs et le fromage à la montagne…. dans les caves d’affinage….
@marie : ahhh ??? me dit pas qu’t’es une ventre jaune 😉 D’accord, maintenant, je t’appellerai Aïda. Heuuu… non finalement, ça serait un peu comme de t’appeler « ma vache », et ça, j’peux pas. Mais je suis sûr que je te trouverai un autre surnom 😉
Jolie !
Taureau d’acier ici, j’ai vu des lampes sympas aussi sur le site, beaucoup de métal alors dans cette expo il me semble ?
@Firenze : en fait, il y avait deux artistes représentés dans cette expo (qui n’était pas très grande). Nathalie Aubrun, qui peint des toiles sur le thème urbain, sur fond blanc, pleines de couleurs vives. Tu sais, quand de bons photographe où de bons cinéastes vont tourner ou shooter sur des sites pollués, il y a risque qu’on trouve le résultat esthétiquement beau. Avec leur art, la pollution devient belle. Et bien Nathalie Aubrun a ce même talent. Dans une ville où tout est gris, ou beaucoup de choses sont moches, elle peint des gens vêtus de couleurs bleues, rouges, jeunes (sa gamme de couleurs dans sa palette n’est pas variée), et elle arrive à montrer du beau où on ne l’aurait pas vu.
Quant à Yannick Gérard (aka Llwyt) est sculpteur. Enfin… J’ai toujours du mal à dire sculpteur pour ce genre d’oeuvre (mais ça n’est pas méchant hein). Pour mon esprit fermé, le sculpteur part d’un matériau brut (pierre, bois, terre, etc.), et forge une oeuvre. La, c’est du collage (ou de la soudure) de pièces déjà forgées. C’est pour ça que j’appelle ça plutôt une « composition sculpturale ». Je sais, je sais, je suis psychorigide… Ça n’enlève rien au talent de l’artiste. Et en effet, ces deux oeuvres étaient deux têtes faites de pièces métalliques.
J’te vois d’dans 😉
@Fabien : bien vu 😉 vi, j’savais, mais j’ai pas triché, je ne me suis pas gommé.