@Firenze : et oui, l’histoire ne le dit pas, mais qui te dit que c’est vraiment le canard qui devient cygne ? Et pas le regard des gens qui changent ? Ou les standards des canons de la beauté qui sont différents selon les âges ? Coin coin coin ! 😉
(ah oui parce que je ne l’ai pas dit, mais je cause couramment le canard, en particulier le col-vert 😉 ).
Le vilain petit canard est pour moi plus une histoire sur la difficulté d’être différent que sur la beauté physique, enfin c’est comme ça que je la comprenais, la difficulté d’intégration dans un milieu plutôt hostile, la loi du plus fort qui met à mal les plus petits (là c’est le nombre de canetons qui fait la force), enfin tout ça ….
@Firenze : ça, c’est ce qu’on comprend quand on grandit. Mais à 4-5 ans lorsque je l’ai entendue pour la première fois, c’était plus le premier degré qui m’a marqué. D’autant que les enfants entre eux ne sont jamais tendres avec le physique. La parabole nous semble plus évidente avec l’âge… Enfin, je parle de mon expérience…
@Firenze : bon, c’est vrai qu’à Nancy, j’ai moins l’habitude. Mais quand j’habitais Dijon, il m’arrivait d’aller courir vers le lac Kir. Il était alors fréquent que je taille une bavette avec un col-vert du coin… 😉
… pourquoi » petit » (comme il est noté sous l’image) ? ….. on n’avait pas dit que l’on faisait dans le style de la discrimination positive !!! – rires….
« courir vers le lac Kir’
‘tailler une bavette avec un colvert du coin’
tout ça pour moi, c’est du dijonnais et je pense que retraduit en français ça doit donner :
‘courir au café du lac pour boire un kir’
‘papoter avec le pilier de bar du coin’.
j’ai bon ?
ah bah non, il n’est pas vilain celui-là, c’est un joli colvert. 🙂
@Firenze : et oui, l’histoire ne le dit pas, mais qui te dit que c’est vraiment le canard qui devient cygne ? Et pas le regard des gens qui changent ? Ou les standards des canons de la beauté qui sont différents selon les âges ? Coin coin coin ! 😉
(ah oui parce que je ne l’ai pas dit, mais je cause couramment le canard, en particulier le col-vert 😉 ).
Le vilain petit canard est pour moi plus une histoire sur la difficulté d’être différent que sur la beauté physique, enfin c’est comme ça que je la comprenais, la difficulté d’intégration dans un milieu plutôt hostile, la loi du plus fort qui met à mal les plus petits (là c’est le nombre de canetons qui fait la force), enfin tout ça ….
@Firenze : ça, c’est ce qu’on comprend quand on grandit. Mais à 4-5 ans lorsque je l’ai entendue pour la première fois, c’était plus le premier degré qui m’a marqué. D’autant que les enfants entre eux ne sont jamais tendres avec le physique. La parabole nous semble plus évidente avec l’âge… Enfin, je parle de mon expérience…
ah oui aussi, bravo pour ton parler canard qui m’a l’air tout à fait au coin, au point je veux dire ! 😉
@Firenze : bon, c’est vrai qu’à Nancy, j’ai moins l’habitude. Mais quand j’habitais Dijon, il m’arrivait d’aller courir vers le lac Kir. Il était alors fréquent que je taille une bavette avec un col-vert du coin… 😉
… pourquoi » petit » (comme il est noté sous l’image) ? ….. on n’avait pas dit que l’on faisait dans le style de la discrimination positive !!! – rires….
@mariedesormes : hey, je n’ai fait que reprendre le titre d’Andersen. Maintenant, tu as raison, il y a moyen de porter plainte 😉
« courir vers le lac Kir’
‘tailler une bavette avec un colvert du coin’
tout ça pour moi, c’est du dijonnais et je pense que retraduit en français ça doit donner :
‘courir au café du lac pour boire un kir’
‘papoter avec le pilier de bar du coin’.
j’ai bon ?