@Firenze: merci 🙂 Mais oui, j’en ai vu de plus beaux encore… J’ai même pu en toucher un qui était sacré (alors que normalement, sacré = pas touche, sous peine d’être obligé de sacrifier un poulet pour le purifier). La légende dit qu’un chef était monté sur ce baobab sacré avec son cheval, ce qui lui a sauvé la vie face aux envahisseurs (et on voit encore sur le tronc les empreintes des sabots du cheval…).
Je ne sais pas comment tu l’as entendue, dans quel contexte, mais il y a dans chaque pays d’Afrique comme dans chaque pays du monde, tout plein de légendes pour expliquer, justifier, argumenter, étayer, toute sorte de phénomènes, événements, causes …. Ou bien juste pour rêver.
Le bon sens et la science mettent cela à mal mais … les légendes perdurent !
@Firenze: oh, cette légende semble être la seule qui explique ces « traces de sabots ». Toute la région connait le chef qui en est le protecteur, et qui nous a autorisé à toucher l’arbre sacré, le prendre en photo, et même, qui a décroché quelques feuilles pour nous les faire manger (pas mauvais en goût d’ailleurs ; un peu épais, mais doit pouvoir se mettre dans une salade…).
@Rosine: oui, et les pauses rizières, et les pauses nénuphars, et les pauses couchers de soleil, et les pauses couchers de camion, et les pauses concession… Ils étaient patients les chauffeurs finalement 😉
@Fab: oui, je crois que ça ressemblait exactement à quelque chose comme ça… Sauf que chauffeur n’était pas plus exaspéré que ça : ya pas de problème, le temps devient très relatif là bas…
Le plus beau que tu aies vu, je ne sais pas, mais il est beau c’est sur, et la photo est belle aussi.
@Firenze: merci 🙂 Mais oui, j’en ai vu de plus beaux encore… J’ai même pu en toucher un qui était sacré (alors que normalement, sacré = pas touche, sous peine d’être obligé de sacrifier un poulet pour le purifier). La légende dit qu’un chef était monté sur ce baobab sacré avec son cheval, ce qui lui a sauvé la vie face aux envahisseurs (et on voit encore sur le tronc les empreintes des sabots du cheval…).

Jolie légende et drôle de zèbre que ce cheval.
Parfois on se sent tout petit, un baobab ça nous en impose.
@Firenze: des légendes comme ça, on en entend moult… A croire qu’ils les ont inventées exprès pour les enfants et les touristes 😉
Je ne sais pas comment tu l’as entendue, dans quel contexte, mais il y a dans chaque pays d’Afrique comme dans chaque pays du monde, tout plein de légendes pour expliquer, justifier, argumenter, étayer, toute sorte de phénomènes, événements, causes …. Ou bien juste pour rêver.
Le bon sens et la science mettent cela à mal mais … les légendes perdurent !
@Firenze: oh, cette légende semble être la seule qui explique ces « traces de sabots ». Toute la région connait le chef qui en est le protecteur, et qui nous a autorisé à toucher l’arbre sacré, le prendre en photo, et même, qui a décroché quelques feuilles pour nous les faire manger (pas mauvais en goût d’ailleurs ; un peu épais, mais doit pouvoir se mettre dans une salade…).

Eh oui, certain en voyage on des pauses pipi, nous on avait les pauses baobabs 😉
@Rosine: oui, et les pauses rizières, et les pauses nénuphars, et les pauses couchers de soleil, et les pauses couchers de camion, et les pauses concession… Ils étaient patients les chauffeurs finalement 😉
Je n’ai gouté que le fruit, pas la feuille. Gout agréable mais peu prononcé.
@Firenze: la feuille a un goût de laitue, et une texture plus épaisse…
Salade de baobab ! à table !! ^^
– Chauffeur, stop, stop, STOP, STOOOOOP !
– Oui, oui. Qu’est ce qu’il y a
– Là, là, un baobab !
– (Aparté du chauffeur) Putain, on est pas arrivé …
😉
@Fab: oui, je crois que ça ressemblait exactement à quelque chose comme ça… Sauf que chauffeur n’était pas plus exaspéré que ça : ya pas de problème, le temps devient très relatif là bas…
j’ai adoré cette réplique d’un bédouin à un journaliste français : ‘Vous avez la montre, et nous on a le temps’, c’est bien, non ? ^^